La
biologie du silicium
Contretype du carbone
dans la matrice des vivants
Sur ce site toutes sortes
d'informations vérifiées sur la biologie du silicium : données
scientifiques et médicales le plus souvent - parfois anecdotiques mais
possiblement signifiantes - sur cet élément fondamental si cher à nos
ordinateurs, quasiment oublié de la biologie, de la médecine & de
la pharmacie (excipient "inactif"... un placebo quoi !) qui
touche pourtant aux phénomènes vitaux les plus intimes.
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Boire
une eau "riche" en silice protègerait-il de la maladie d'Alzheimer
? C'est en tout cas ce que suggère une étude récente publiée par une
équipe de Toulouse.
Gillette-Guyonnet S.,
Andrieu S., Nourhashemi F., de La Guéronnière V., Grandjean H., and Vellas
B. (2005) Cognitive
impairment and composition of drinking water in women:findings of the
EPIDOS Study. American Journal of Clinical Nutition (2005)
81:897–902 (article intégral en anglais pdf 117
Ko)
Pour résumer : dans une population de 383 femmes
âgées de plus de 75 ans absorber moins de 4 mg de silice par jour sous
forme d'eau de boisson multiplie le risque de souffrir d'une maladie d'Alzheimer
d'un facteur presque trois (2.74) par rapport à la valeur de référence
(> 12 mg par jour). Ce travail a été financé par l'Inserm et par...
Danone (commentaire),
dont les eaux minérales étudiées (Volvic, Badoit et
Evian) contiennent des quantités significatives de silice (respectivement 35.7, 33.4 & 15.2
mg/L). Alors que les
eaux minérales qui viennent de chez Nestlé également utilisées dans
l'étude ont toutes moins de 10 mg/L... Hasard ? Chance ? Tandis que
l'eau du réseau des grandes villes où a été conduite cette étude
affiche entre 4 et 6 mg/L, sauf Amiens 11.2 mg/L).
Ce travail est à rapprocher
d'une étude plus ancienne qui montre des protections également très
significatives à l'égard de la maladie cancéreuse :
Burton, A. C., F. Cornhill, et al.
(1980) Protection from cancer by 'silica' in the water-supply of U.S.
cities. Journal of Environmental Pathology and Toxicology 4:
31-40
Le
Conjonctyl un
"vieux" médicament (1976) à base de méthylsilanetriol CH3-Si(OH)3
(tout comme le "fameux" G5 de Loïc Le Ribault), retiré de la vente il y a quelques
années pour non-renouvellement d'AMM, revient sur le marché sous forme
de dispositif médical injectable
(propriété que n'ont pas les multiples additifs alimentaires à base de
silicium organique). Indication : le comblement des rides ! Gageons
que les nostalgiques des anciennes indications (ischémies, ostéoporose,
mastodynies, mésothérapie, etc.) sauront reprendre leurs habitudes, qui
consistait aussi parfois à explorer le "et caetera" quand les
pathologies aggravées rencontrées semblaient au-delà de toute ressource
thérapeutique agréée. Voir également le
CH3-Si(OH)4 dans tous ses états (G5 & Cie)
ou comment l'assaisonner ?
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On peut
avoir trois principaux objets dans l'étude de la vérité :
l'un, de la découvrir quand on la cherche ;
l'autre, de la démontrer quand on la possède ;
le dernier, de la discerner d'avec le faux quand on l'examine.
Blaise PASCAL
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