Autres éléments de réflexion


Silicium et culture cellulaire Une anomalie ?
    (6-VI-00, MàJ 7-VI-00)

B(r)ouillon hippocratique évolution clinique plus qu'inhabituelle d'une maladie génétique (Marfan) (1-VI-05)

Silicium dans le règne végétal Une autre anomalie ?
    (5-VI-00, MàJ 16-VIII-03)

Du silicium dans le vin ? Et pas qu'un peu...
    (8-VI-00)

Un explication alternative pour l'homéopathie ?
    (12-III-98, MàJ 28-IV-00)

Mendeleev revisité Quelques individualités du tableau périodique des éléments qui se singularisent (en anglais) 
    (4-XI-07)

PLACEBO - Une question de principe A-t-on besoin d'un placebo standard dans les essais cliniques ? Quid du Dissolvurol (silice colloïdale) ?
    (5-VIII-03)  

Le méthylsilanetriol dans tous ses états (G5 & Cie) ou comment l'assaisonner ?
  
(4-XI-07)

Quand un pharmacien (ou un médecin) se prend la peine d'analyser la composition d'un "médicament" il regarde aussi les excipients qui ne servent pas simplement de ballast, qui ne sont pas inertes ou inactifs ou neutres comme chacun croit savoir. Ils participent pleinement à l'activité du principe actif. Le fait d'ajouter du phosphore (sous forme d'acide phosphorique par exemple) ou du soufre (sous forme de thiosulfate par ex.) peut amplifier considérablement l'activité d'un autre élément (un méthylsilanetriol par ex. ...). Ainsi dans mes tentatives pour essayer de comprendre ce qui se passait vraiment, j'ai commencé par expérimenter sur moi-même, puis à prescrire, du Dissolvurol, vendu en pharmacie, sans ordonnance et à un prix très modique. C'est une silice colloïdale obtenue par électrolyse, stabilisée par de l'acide chlohydrique et de l'éthanol en toutes petites quantités, et délivré dans un flacon de verre fortement teinté (comme si la lumière pouvait affecter son activité...).

Pour un certain nombre de raisons qu'il serait trop long d'exposer ici j'ai été amené à ne prescrire cette silice dans les cas de fatigue avec troubles du sommeil qu'accompagné de magnésium et de sélénium dans un premier temps (et toujours en cures discontinues). Après analyse, et parce que l'effet stimulant m'apparaissait trop énergique, j'ai tenter de l'équilibrer avec les principaux oligo-éléments des diathèses de Ménétrier (chercher ce nom sur Google avec "oligothérapie"), c'est-à-dire, cuivre-or-argent, zinc-nickel-cobalt, manganèse-cobalt (cuivre-zinc). L'effet a été constamment remarquable et j'avais même créé et animé pendant quelque mois une consultation expérimentale au CHU de Fort-de-France sur le thème "Fatigue à l'Hôpital" avant mon retour en métropole. Il manquait peut-être à ce cocktail un peu de phosphore et de soufre... mais l'explication de prescription et l'observance ne sont déjà pas si faciles tel que. Le protocole... sili.cium@free.fr ou bien fatigue.htm.

Pour bien faire, peut-être faudrait-il aussi rajouter du plasma de Quinton. Le plasma de Quinton n'est que de l'eau de mer puisée à assez grande profondeur, diluée à isotonie du plasma humain, et qui contient l'ensemble des oligo-éléments dont peut avoir besoin le vivant. Certains sont en assez faibles quantités mais rien ne manque ! Il y a déjà longtemps j'avais eu la curiosité d'aller consulter tous les ouvrages de Quinton disponibles à la Bibliothèque Inter-Universitaire de Médecine à Paris (BIUM). Au détour d'un paragraphe, j'ai noté une observation curieuse. Quand on évapore de l'eau de mer, on obtient du sel. Quand on redissout ce sel tous les éléments repartent en solution sauf deux. L'un deux est la silice (vous vous en doutiez). L'autre est... (et ce n'est certainement pas un hasard)   sili.cium@free.fr 

Ce que me paraît surtout apporter le méthylsilanetriol (par rapport à une silice non substituée) c'est un passage facilité à travers les membranes, des plus simples (membrane cellulaire) au plus complexes (peau). Mais il existe aussi un autre facteur que personne ne met en avant, parce que cela n'a pas été vraiment étudié ou pensé, c'est le fait que le silicium dans les complexes méthylsilanetriol-X est très probablement sous forme hypervalente. Quand j'avais rencontré le Pr. Dunoguès il y a une dizaine d'années, juste avant qu'il ne prenne sa retraite à l'Université de Bordeaux (c'est dans son laboratoire qu'avait travaillé Norbert DUFFAUT, une précieuse source pour Loïc Le Ribault) je lui avait posé précisément cette question. ET il avait reconnu avoir étudié le problème... Pour cela il faut utiliser un isotope stable du silicium, (29Si) et disposer d'un appareillage de Résonance Magnétique Nucléaire (RMN). Sa réponse... sili.cium@free.fr


accueil

http://sili.cium.free.fr/elements.htm
Création le 11 mai 2000
MàJ le 04 novembre 2007